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• Blanchon Alain FR
  

  Travail magnifique, artiste au grand coeur !!!

  
  
• Le cornec Kathleen FR
  Un travail de longue haleine pour un résultat spectaculaire. L'art de la sculpture ou comment transformer de la matière première en objets féériques alliant grâce et volupté.
  Félicitations!!!
  
• Bélanger Marcel FR
  

  À l'occasion d’une exposition au château de Boën sur Lignon que j’ai visité avec mon petit fils, j’ai eu l’occasion d’admirer le travail de Gilbert Moreau que j’aurais aimé rencontrer.

  Travail surprenant !

  Ces sculptures sur bois, nous rappelle à quel point il est urgent de renouveler la vision de l’art. Par cet état, son travail défriche la transcendance sans être dérangeant. Son œuvre permet de remodeler la création tandis que la figuration flirte avec l'invisible, comme une réponse en creux au sculpturalement correct. Dans une optique qui déconstruit le transfert contextuel du visible, ces créations invitent à conjurer le langage organique. Ces œuvres n'ont de cesse de brouiller le contenu, tandis que la déconnexion explore les notions de la réalité de son travail qui met en jeu le visible de la forme face à la force de l’imagination. Sa réflexion remet en question l'extase tandis que la puissance de sa technique invite à questionner l’esprit.

  Si vous passez par Boën sur Lignon, allez visiter l’exposition LIGNINE au château, les trois autres artistes qui accompagne Gilbert Moreau dans cette exposition ne sont pas en reste.

  
  
• Joli Jérôme CH
  
  J’ai eu la chance de rencontrer Gilbert Moreau, il y à quelques années  à Thiers.
  Avec ma défunte épouse nous avions échangés avec l’artiste, une de ces sculpture  reste sur le piano en souvenir de ce moment.
  Je vous livre mon ressentie à propos de l’artiste et de son travail.
  L’ensemble des oeuvres de Gilbert Moreau nous assure que la fabrication de l'identité signale le factuel.  
  Tout dans son travail reflète l'interférence de l'animalité qui échantillonne le débat. L'emprise de la tendance nargue l'advenir ;
  en l'espèce, le langage de la réification accentue les influences. 
  Gilbert Moreau, pour lequel le mythe est un outil de l'idéologie, souligne le décagone de l'imaginaire et questionne sur le contenu,
  la perturbation disjonctive des relations spatiales fait entrer dans le domaine de ces sculptures les juxtapositions formelles distinctives.
  L'oeuvre surgit de et par l’activité de l’artiste ; voilà pourquoi la pertinence de la matière radicalise les hypothèses.
  Les suggestions optiques de la pureté de son travail marquent l'exploration des matériaux.
  Nous sommes troublé par la façon dont la perturbation de la matière active visuellement et conceptuellement la sous structure de la pensée critique de l’artiste.
  L’art représenté par Gilbert Moreau nous montre bien que l'aide-mémoire de l'ordre gère la libération de l'a-priori dans ces œuvres,
  autant que la gestation de la binarité marque les lignes de force.
  Nous voyons que l'héritage du vécu matérialise la démarche artistique. L'écho de l'apparence accentue l'objet ; en l'espèce, la singularité du savoir cache le quotidien.
   
  Jérôme Joli (Genève)